Cette section est enrichie par les adhérents une fois par semaine. Chaque dimanche, deux adhérents sont tirés au sort et l’un doit interviewer l’autre afin d’en faire une petite présentation. Cela incite à aller à la rencontre de l’autre, à faire parler les plus timides, à mettre en avant les plus modestes, et à créer de la cohésion au sein de l’association !
Carlos Da Silva
Travailleur du bâtiment
Bonjour Carlos, tu peux te présenter ?
Salut a tous, je suis Carlos da Silva, je travaille dans le domaine du bâtiment plus précisément en revêtement de sol et murs.
De plus je me débrouille dans tous les domaines de la rénovation et du bricolage.
Qu’est ce qui te fait scintiller les yeux ?
Ce qui me porte et me fait avancer, serait de réussir à trouver un lieu, un domaine, une ferme ou un groupe de personnes qui dans cette même démarche pour vivre dans la bienveillance mutuelle, l’autonomie et le partage sans se prendre la tête… car savoir donner, c’est recevoir en retour.
Comment as-tu connu Ecovirage ?
J’ai rencontré Sylvain aux apéros citoyens de St Maximin, organisé par Sophie Moya (naturopathe). Il nous a parlé de ses
projets qui m’ont semble très intéressants, puis on s’est revu à plusieurs reprises sur d’autres manifestations
As-tu des projets au sein de l’association ?
Ce serait je pense une bonne idée de mettre sur le terrain une ruche pour polliniser les arbres et le potager
Des conseils de lecture ou de documentation ?
Je conseille de visionner les reportages d’Hugo Clément, qui milite pour l’écologie, et dénonce les absurdités monstrueuses de notre société.
Marine MOUYSSET
Ostéopathe
Je suis Marine MOUYSSET, j’ai fait une formation d’ostéopathie et je me forme en médecine Chinoise.
Ce qui me fait scintiller les yeux, c’est le fait de découvrir chaque jour les mystères de la vie, que ce soit dans la nature, dans les relations humaines, le fait de voir ce que l’on peut créer chaque jour pour apporter un peu plus d’Amour au monde ensemble.
J’ai connu Ecovirage en faisant des séances d’ostéopathie à Sylvain, il me parlait de son projet associatif avec enthousiasme et cela justement m’intéressait beaucoup !
Si je peux aider pour l’association dans le jardin, ou à soulager qq tensions/ à masser je suis là 😇
Je choisirais un livre « La sagesse dans l’assiette » de Yann Traskine, un de mes mentors ostéopathe acupuncteur pour nous conseiller sur notre alimentation selon les saisons.
Benjamin MIRANDA
Machiniste Audiovisuel
Je suis Benjamin Miranda. On m appelle Ben, voire Benjo… s il vous plaît pas Benji.
Je suis né à Rio, Brésil, il y a 53 ans. Élevé à Paris; dans le Var depuis une douzaine d années, j ai gardé de mes origines l idée de regarder avec des visions « multiples ».
Je suis un pessimiste convaincu. Ce qui ne veut pas dire spécialement négatif, triste, ou joyeux (quoique) et n empêche pas de bien vivre le présent.
J ai fais des petites études en tourisme, et surtout toujours aime les arts visuels: De l impressionnisme au graffiti, de Gaúdi à Moebius, de Molière à Niemeyer. Du coup j ai la chance d aimer mon boulot de machiniste audiovisuel: en gros je joue aux lego et mécano (mais donc des gros) pour mettre en images des idées, et aussi des pâtes !!!
Merci Antonin de m avoir amené au Gd Jas, il y a bientôt 2 ans. J entendais parler d’Ecovirage depuis un moment.
En terme de permaculture, j ai participé à des projets surtout autour de l habitat, construction. Au sein d Ecovirage je vois qu’on évoque surtout la nourriture. Et bien, je n ai pas la main verte, mais il est bon d assister quand il s agit de manier des outils. Je crois aussi à la transmission, surtout auprès des jeunes. Je ne fais pas de projet sur ma future implication, mais il y a tant à développer. Étant plutôt bricoleur, et « mauvais » pédagogue, ces aspects m’attirent plutôt.
Impossible de ne citer qu’une œuvre à conseiller. Alors j évoque encore « Le parfum » de Patrick Süskind. Pour l absurde et les références historiques: « Sacré Graal » (tout Monty Python et autres dérivés en fait). « Bad Taste » (et autres Peter Jackson avant le hobbit et l anneau). Pour une vision acide et réelle de notre planète: « Le monde sans fin » de Jancovici / Blain… Michel Gondry…. L intégrale de Pierre Desproges, avec en fond sonore « Watermelon man » de
Herbie Hancock, Bjork et Curtis Mayfield…
Sebastien HENRY
Contrôleur Aérien
🎤 En quelques mots, qui es-tu, quel a été ton parcours ?
Je me présente Sébastien HENRY, 48 ans.
Je suis originaire d’Aix-en-Provence où j’ai grandi. Après une année à la fac de droit d’Aix (intéressant mais les amphi avec 400 personnes c’était vraiment pas fait pour moi !) je suis parti une année à Londres et au final y suis resté pratiquement 9 années. L’attrait culturel et le dynamisme de cette ville m’attirait depuis de nombreuses années. En bref, j’étais fasciné 🤩
Je suis revenu en France, à Paris, début 2007 dans le cadre d’une mutation professionnelle mais c’est le cœur ❤️ pincé que je suis revenu. Je reste anglais de cœur 💓
Je travaille au centre de contrôle des opérations aériennes à l’aéroport de CDG depuis 2017.
🎤 En dehors d’Ecovirage, qu’est-ce qui te fait scintiller les yeux ?
Ce qui me fait scintiller ✨ les yeux ce sont les relations humaines et aller la découverte des autres, de leurs cultures et modes de vie. L’échange, l’entraide avec autrui est enrichissant pour soi-même, nous permet d’évoluer et prendre en maturité et sagesse. L’altruisme nous permet et nous permettra de surmonter les ignorances dont nous faisons preuve au-travers de conditionnements qu’on a pu subir.
Et comme l’affirmait si bien Ghandi au travers de l’une de ses citations :
« Je ne veux pas que ma maison soit murée de toutes parts, ni mes fenêtres bouchées, mais qu’y circule librement la brise que m’apportent les cultures de tous les pays. »
🎤 Comment as-tu connu Ecovirage ?
J’ai connu Ecovirage par l’intermédiaire de Sylvain au cours d’une de ses tournées (il travaillait à la Poste). C’est au cours d’un échange qu’il m’a loué l’association et ses bénéfices.
🎤 Y a-t-il des sujets ou projets en particulier que tu aimerais proposer ou porter au sein de l’asso ?
En terme de projet(s), il y a beaucoup à faire concernant la permaculture. L’expression « agriculture durable » a pris un sens plus large.
Tout le monde devrait avoir son petit jardin 🪴 ,qu’importe la superficie de jardin ou d’espace, à son domicile. À mon sens cela représente l’avenir du monde.
Gagner en visibilité auprès du plus grand nombre et des communes en particulier, en participant à des projets communaux, est l’un des projets qui pourrait figurer en tête de liste.
🎤 Si tu ne devais en choisir qu’un, quel livre / film / documentaire / artiste ou autre conseillerais-tu aux adhérents ?
Pour finir sur une note plus culturelle, je recommanderai le livre « la source noire » de Patrice Van Eersel aux éditions Le livre de poche. Livre ayant attrait à la spiritualité et plus particulièrement à la Vie après la Mort.
Dylan Martinez
Nomade de jardin
Fin 2023, nous avons enlevé le concept de l’interviewer qui n’était pas suivi, et proposé ces cinq questions types :
En quelques mots, qui es-tu ? D’où viens-tu, quel a été ton parcours, chemin de vie ?
Holà les amigos.as, je m’appelle Dylan (si on ne m’a pas menti), je viens du sud (comme chante un certain Michel qui lui vient en fait de Paris), j’ai grandi dans un joli petit village pas loin de Marseille.
J’ai fait quelques études, puis des jobs alimentaires puis re-des études une fois que j’ai trouvé une voie qui me plaisait vraiment, j’ai passé un cap instagramer et maintenant je m’épanouis pleinement à Dubaï et— ah non c’est pas vrai j’ai (réellement) passé un BPJPS en animation sociale et depuis 2 ans et des patates je me suis tourné vers une activité que j’aime énormément, le travail avec le sol de manière respectueuse. J’aimerais par la suite participer à la création d’un lieu d’accueil autour de la permaculture et des valeurs qu’elle prône.
En dehors d’Ecovirage, qu’est-ce qui te fait scintiller les yeux ?
Huum… je dirais le bon pain, Mely ( la plus adorable des chiennes ), et l’entraide, apporter ce qu’une personne a besoin dans une situation est un sentiment incroyable pour moi.
Comment as-tu connu Ecovirage ?
Je me baladais sur l’avenue, le cœur ouvert à l’inconnu, on s’est vu on s’est vite plu on est allé boire un café puis notre histoire a commencé, autour de 2021 je crois (merci le Centre Social de St Maximin, et Magali aussi, sinon je n’aurais pas entendu parler d’Ecovirage ).
Y a-t-il des sujets ou projets en particulier que tu aimerais proposer ou porter au sein de l’asso ?
J’aimerai proposer dans l’avenir la création d’un four de potier et la réalisation de nos propres poteries !
Si tu ne devais en choir qu’un, quel livre / film / documentaire / artiste ou autre conseillerais-tu aux adhérents ?
Choisir une seule chose est bien difficile, je pense que je vais prendre la dernière chose que j’ai beaucoup aimé, « l’insoutenable légèreté de l’être » de Kundera !
Charlotte Gauthier
Coach Entrepreneurs
Interview menée par Daphné F.
« Coucou Charlotte !
Aujourd’hui c’est à moi de d’interviewer 🤗
Dis-moi ce qui t’as conduite à la permaculture ? »
Alors c’est mon cœur, ma vie, mon âme sœur, que je suivrais au bout du monde (enfin déjà jusqu’à Copenhague 😅) : j’ai nommé Arnaud Desmarest (Nono pour les intimes) qui m’embarque dans toutes ses dingueries 🙂 Et oui c’est bel et bien l’amour qui m’a conduit à la permaculture ! 🥰
Il faut savoir que quand Arnaud se passionne pour un sujet, il s’y met à 2000% ! Alors forcément c’est arrivé (rapidement) jusqu’à moi 🙂 J’ai tout de suite adhéré aux principes de la perma, et c’est avec plaisir que je m’y plonge dans mes temps libres. On me dit un peu schizo car dans ma vie pro je suis commerciale, je prône la croissance, la rentabilité, les chiffres et le week-end c’est tout l’inverse 😅
Je caricature beaucoup la chose car en réalité, mon travail permet d’aider des personnes à vivre sereinement de leur activité puisque je suis au sein d’un organisme de formation qui aide au déploiement des « jeunes » entrepreneurs.
Et plus particulièrement chez Ecovirage ?
– Et plus particulièrement chez Ecovirage car c’est la première asso que l’on a connu en arrivant il y a 3 ans maintenant à St Max (nous étions vers Aix avant). Nous étions en plein dans la création de notre potager, vraiment à fond et un beau samedi de septembre nous nous sommes rendus, comme beaucoup de personnes, au forum des assos. Arnaud ne voulait pas particulièrement y aller et là c’est finalement moi qui l’ai conduit vers Ecovirage en l’incitant à m’accompagner ! héhé !
Nous avons rencontré un charmant jeune homme barbu qui s’est trouvé être El Prezi, et maintenant l’un de nos plus proches amis 🙂 Une magnifique rencontre qui nous a permis d’étendre nos connaissances dans le domaine de la perma et de multiplier les belles rencontres.
Aujourd’hui, je ne suis pas forcément « à fond » sur la perma à tout prix, même si dans mon quotidien et avec (la bonne) influence de l’entourage Ecoviragien j’ai des petites voix dans ma tête qui me renvoient souvent à ses principes. En revanche c’est Ecovirage sinon rien 😉 »
Debbie Griffith
Cofondatrice de Spiral Tribe
Interview menée par Marianne, à lire avec un bel accent anglais !
Bonjour Debbie, j’espère que tu vas bien. C’est à mon tour de t’interviewer.
Alors, une question qui me turlupine, comment et par quel chemin, une jolie anglaise est elle arrivée à Saint Maximin ?
– Bonjour Marianne, alors ça c’est une longue histoire mais je ferai en version courte ! J’ai toujours beaucoup voyagé et c’est vers 1985, lorsque ma mère, mon frère et ma soeur m’ont rejoint en Australie, que nous avons entendu le mot « Permaculture ».
Fascinés par ce concept (bien que c’était assez nouveau à l’epoque) on a eu l’idée de trouver un lieu en commun en Australoie assez grand pour nous tous, avec chacun son habitation, et de pratiquer la permaculture là-bas, car on adorait la chaleur, les plages etc. (l’Angleterre étant souvent très gris et pluvieux!) Donc c’était notre but.
Mais vers 1989 le mouvement « Rave Party » et House Music sont arrivés en Angleterre et nous étions captivés (sauf ma mère bien sûr) ! On adorait cette liberté, l’égalité et l’amitié qu’on a trouvé dans ces soirées, la plupart clandestines mais avec plusieurs milliers de gens.
Et finalement en 1991 avec plusieurs amis on a acheté un Sound System et pendant toutes les années 90, nous avons voyagé partout en angleterre et en europe (et même jusqu’en Inde!) faisant ces soirées avec cette musique à prix libre. La France est le pays qui nous a acceuili à bras ouverts et adoré notre musique et notre mode vie nomade.
Et puis en l’an 2000, comme il était de plus en plus difficile de vivre « sur la route » comme ca, ma mère à acheté notre petite cabanon ici à St Maximin (impossible pour elle de trouver assez d’argent pour emigrer en Austraile) avec assez de place pour nos camions !
Et aussi, comment as tu rencontré Ecovirage et quelle est ta motivation pour la permaculture ?
– Le projet de permaculture était bien en stand-by pendant toutes les années!!! Mais quand la Covid est arrivée, ca m’a fait questionner plein de choses et je savais que c’etait le moment d’apprendre comment faire un potager etc.
Complètement par hazard, une copine m’a envoyé le lien vers le site de cette nouvelle association Ecovirage en Avril 2021, et j’ai demandé à Sylvain de venir faire un design de permaculture chez nous.
On a 2.5 hectares ici, assez sauvages, donc c’est aussi pour apprendre comment le gérer dans un facon soutenable, et aussi découvrir les meilleurs moyens pour recupérer et stocker l’eau.
Une dernière question, comment vois tu l’avenir avec Ecovirage ? Qu’attends-tu de l’asso ?
Ce que je trouve chouette avec Ecovirage c’est la vitesse à laquelle elle grandit, et que tous les gens sont très sympa ! Un super réseau est créé, et ce n’est que le debut. C’est exactement ce qu’il fallait ici, surtout avec tout ce qu’il se passe autour de nous. J’ai vraiment l’impression que des liens très forts s’établissent et je me sens beaucoup plus en sécurité depuis que ce réseau existe. En plus on fait plein de choses sympas, le Grand Jas, les apéros, les reunions « cool ».
Donc voila, massive respect to the president et à tous ceux qui ont aidé à la naissance de ce beau projet 😉
Monique Canovas
Saint-Maximinoise
Interview menée par Debbie
Bonjour Monique, j’ai la plaisir de te interviewer cette semaine !
– Bonjour Debbie,
c’est avec plaisir que je vais essayer de répondre à tes questions,
D’abord, est ce que tu peux te presenter à tout le monde? On sait bien sûr que tu es la mère de notre cher Sylvain 😉 mais c’est quoi ton parcours?
Tu viens de St-Max ou d’ailleurs?
Et est-ce que tu as eu un métier dans ta vie, ou trop occupée comme mère au foyer ? 😉
– Je suis varoise par choix, installée à Saint-Maximin depuis 33 ans déjà, Mais je suis née à Marseille en 1952.
J’y ai fait mes études, passé mon bac et, comme j’adorais peindre et dessiner, je me suis inscrite dans une école de publicité. Je me suis vite rendue compte que j’étais tombée dans un monde de requins 🙂 et j’ai laissé tomber, mon père ayant besoin de moi pour tenir sa supérette, j’ai été commerçante un moment, et c’est là que j’ai rencontré Lucien.
Nous avons vécu à Aubagne 5 ans avant de nous installer à Saint-Max avec Sylvain et Martial, nos deux enfants.
Je suis devenue mère au foyer et n’ai plus fait de travail rémunéré à partir de là. Mais j’ai touché à tout finalement… peinture, menuiserie, carrelage, plomberie, électricité, maçonnerie…
C’est quoi tes passions dans la vie? Des loisirs ?
– Mes loisirs étaient assez nombreux aussi, principalement, la natation et la plongée en apnée, la rando, le ski, l’équitation.
Est ce que tu étais deja intéressée par la permaculture avant que Sylvain a demarré Ecovirage ?
– J’ai toujours aimé et respecté la nature : un coucher de soleil, un paysage, les chants d’oiseaux me procurent du bonheur, mais dans ma jeunesse on ne parlait pas de permaculture. J’ai découvert ce mot grâce à Sylvain et Ecovirage
Tu es bien impliquée dans l’association, tu as un rôle spécifique ?
Et c’est quoi que tu aimes en particulier ? Le jardinage, les rencontres, la convivialité, la résilience…
– L’asso réunit des personnes magnifiques, je pense que nous commencions à nous ennuyer un peu, et depuis que Ecovirage a vu le jour, les réunions entre amis, les échanges, les ateliers, ça n’arrête pas.
J’apprends beaucoup de tous mais ne peux malheureusement pas m’impliquer davantage dans ce qui est physique, pour le moment. Du coup, oui, les rencontres, les moments partagés autour d’un verre, les repas au Grand Jas, que du bonheur.
Je suis vraiment impressionnée par tout le travail accompli en si peu de temps et je souhaite que notre belle asso prospère toujours plus.
Merci beaucoup Monique !
Céline Duvignau
Pépinière Bio "Graines de Vie"
Holà les amis, aujourd’hui j’aimerais vous présenter Céline, qui a rejoint l’association récemment mais qui est partenaire d’Ecovirage depuis 2021 ! Née dans le département de la Vienne puis élevée en Corrèze, Céline est solaire et pleine d’énergie. Grande aventurière n’ayant pas froid aux yeux (mais quand même un peu frileuse), elle a suivi le soleil et la chaleur au fil des ans, ce qui l’a amené naturellement dans le Var en 2012.
Suite à un burn-out, elle change complètement sa vie pour se tourner vers la Terre, et commence avec son conjoint de l’époque une exploitation de fraises. Proche de la confédération paysanne, ils sont le premier espace-test de la branche de l’ADEAR qui se crée sur notre territoire. Céline co-fonde ensuite la ferme Sivana dans une démarche d’autonomie.
Cette page tournée, elle commence l’activité de pépiniériste en adéquation avec ses convictions : les plants sont produits de manière naturelle, sans produits et sans contenant en plastiques, dans une démarche éthique et autonomisante.
J’ai été ravi et motivé par notre entretien, car c’est rare de rencontrer des personnes ayant réalisé leur Ikigai (leur passion et leur « raison d’être »), car pour elle la pépinière est une manière d’appréhender les cycles de la nature, d’assurer une production alimentaire, mais aussi de créer du lien social, de la beauté et du sens.
Elle s’intéresse aussi à la permaculture humaine et la communication non-violente, enrichie par de nombreux projets au sein de différents collectifs. Elle a plein d’idées pour travailler avec Ecovirage et je m’en réjouis d’avance !